L’assureur ne s’est pas fixé d’objectif financier pour l’émission de ces "parts C" de 1.000 euros. Il n’en attend pas forcément des tonnes.
"L’idée ici est surtout de faire revivre la coopérative au sens premier, c’est-à-dire que les particuliers soient parties prenantes", dit la CEO. "Nous voulons engager davantage les clients, les faire participer à la vie de l’entreprise." Il est ainsi question d’un groupe de discussion sur la prévention, voire "de cocréation sur de nouveaux produits".
Bref, de fonctionner comme une vraie coopérative.