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Cera, c'est vous !

Nous aimerions encore mieux connaître tous nos coopérateurs.

Qu'est-ce qui vous touche ? Qu'est-ce qui vous motive et vous anime ? ...

Vous savez que, dans chaque édition de nos magazines, nous donnons la parole à un coopérateur. Mais, deux magazines par an, c'est bien trop peu pour présenter tous nos sociétaires ! Nous voulons donc également partager vos témoignages, citations et messages aussi via nos canaux de communication digitale. 

Serez-vous notre prochaine vedette ? 

Êtes-vous prêt à tout nous dire sur votre personnalité, voulez-vous partager un message avec les autres coopérateurs ?

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PS : pensez-vous à un coopérateur intéressant que nous pourrions interviewer ? Transmettez-lui le lien vers cette page pour qu'il se signale : www.cera.coop/cera7vous !  

Portrait de Sophie Marsin

Cera compte une jeune coopératrice enthousiaste de plus : bienvenue Sophie Marsin ! Des projets bienveillants, locaux et durables ? Ça lui parle, à cette liégeoise de 30 ans créatrice des chaussettes stylées made in Europe SOSOCKS. Portrait décalé d’une entrepreneuse inspirante qui a la tête sur les épaules et le cœur sur la main.
 
Tu es du genre à sauter du lit ou à lutter pour en sortir ?
J’ai toujours entendu dire que les réveils trop matinaux perturbaient le métabolisme (rire). Avant 10 heures, c’est donc compliqué. Mais une fois debout, plus rien ne m’arrête.

Les autres disent de toi que tu es...
On me présente souvent comme persévérante (ah quand j’ai une idée en tête !), solaire (je vois toujours le verre à moitié plein, je pousse les autres à croire en eux) et à l’écoute (je réponds toujours à l’appel). 

Y a-t-il une phrase qui t’as un jour marquée ?
« Cessez de faire, commencez à être. » extraite du morceau Les Pensées, sur l’album Foundations du groupe The Architect. Elle nous rappelle l’importance de se concentrer sur notre être intérieur, de vivre pleinement l'instant présent et de cultiver notre authenticité. Je crois sincèrement que ce ne sont pas uniquement nos réussites professionnelles ni nos biens matériels qui nous définissent.

Ta couleur préférée ? 
Le blanc, couleur de la pureté par excellence. On peut le mixer avec toutes les couleurs. Je vois cette teinte comme une toile immaculée offrant une infinité d’options créatives.

Qu'est-ce qui t’as ému récemment ?
J'ai une sensibilité à fleur de peau. Un coucher de soleil, une personne âgée affectueuse avec ses petits-enfants… Je suis du genre à m’émerveiller pour un rien et j’ai la larmichette facile (rire).

Si tu étais un animal, tu aimerais être... 
Probablement un chat. Son mélange d’indépendance et de sociabilité, son assurance, sa sérénité m’inspirent. Et puis, il a cette façon unique de prendre le temps de se détendre... J’adore !  

Dans quel endroit du monde te sens-tu vraiment toi ?
En Italie, sans hésiter. J’adore la langue, l’accent, les paysages, le vin (prosecco inclus). Mais ce que j’aime par-dessus tout, c’est la cuisine… à toutes les sauces et sous toutes les formes ! Chance pour moi, mon compagnon est italien. Il m’a partagé quelques recettes secrètes de famille.

Quel talent aurais-tu voulu avoir ? 
J’aimerais savoir chanter. J’adore pousser la chansonnette mais pour le bien-être des personnes qui m’entourent, j’évite de le faire trop souvent ;-)

Qu’est-ce qui te révolte le plus dans la société ?
L'injustice. C’est le genre de chose qui me touche profondément et qui peut me mettre hors de moi. Que ce soit l'injustice sociale, l'inégalité des chances ou le traitement inhumain envers les animaux… Je ne peux pas rester indifférente.

Admettons qu’on t’offre l’occasion d’être téléportée dans une autre époque. Laquelle choisis-tu ? 
J’opterais pour une époque qui accordait plus de place aux relations humaines et moins de place à la technologie. Les sixties ou seventies, par exemple. Je ne suis pas anti-technologie - elle a grandement facilité nos vies - mais on a tendance à être trop connectés et submergés par les notifications. 

Un mot que tu adores ?
J’adore le mot « Naja ». C’est le nom d’un serpent. Gros avantage : il me permet de scorer un max au jeu pays/ville/village. Sinon j’apprécie aussi beaucoup « cucurbitacées » ; ça sonne bien, non ?

Avec qui aimerais-tu partager un repas ? 
Avec mes parents. Ça peut paraître cliché mais ce sont mes racines et mes ailes. Sans eux, je ne serais pas là où je suis. Ils m’ont toujours soutenue, et l’aventure SOSOCKS n’aurait pas été possible sans eux. Ça me fait penser que je devrais leur téléphoner pour fixer une date. Et leur rappeler combien je leur suis reconnaissante, évidemment. 
 
Ta saison préférée ?
L’été. C’est la saison des vacances, du soleil, des festivals et des apéros en terrasse entre amis. 

Quel genre musical t’envoie illico sur le dance floor ?
J’écoute de tout. C’est probablement dû au fait que je suis née dans les années 90.  Des tubes des années 80 aux hits des années 2000, tout y passait lors de nos premières soirées. Sans compter le papa ou le tonton fan de Classic21 qui enrichissait notre culture musicale (un vrai traumatisme en voiture, à l’époque).  J’ai donc exploré tous les styles : rap français, électro, pop… Résultat : mes playlists ont zéro cohérence, mais c’est ça qui me plait !

« Ose être toi-même, dans toute ta complexité. »
Sophie Marsin

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